« Sentir l'être sacré frémir dans l'être cher,
Apercevoir un astre à travers une chair,
Voir à travers le cœur humain l'âme divine,
Achever ce qu'on voit avec ce qu'on devine,
C'est croire, c'est aimer. » Victor Hugo. L'amour
Apercevoir un astre à travers une chair,
Voir à travers le cœur humain l'âme divine,
Achever ce qu'on voit avec ce qu'on devine,
C'est croire, c'est aimer. » Victor Hugo. L'amour
« « Le Pituicyte » ! QUÈSACO ?! Roman scientifique… Ecrivain : Lia Rosso.
Avant d’aller plus loin, voyons la 4ème de couverture. Nous sommes interpellés : on pense à une naissance, douleur, joie, guérison, amour.
Qui est la membrane et qui est Sonja ?
Dès le début les présentations sont faites : nous savons ce qu’est un pituicyte (grâce au glossaire bien explicité) et que Sonja est une chercheuse, une biologiste.
Tout de suite, nous entrons dans le sujet. La pensée d’Albert Einstein sur l’IMAGINATION nous y prépare.
L’IMAGINATION avec son ÉMERVEILLEMENT de la communication avec le Pituicyte. Un rêve, une analyse, une méditation, une plongée dans l’inconnu de notre vaste conscience : parler avec ceux qui n’ont pas l’intelligence de la parole et plus est, avec une cellule animale, et plonger ainsi dans la vie.
Puis -plus terre à terre- l’ébauche d’une rencontre où la force mystérieuse de l’amour se manifeste avec Laurent, l’inconnu encore, de la veille ; échanges délicats, respect… fidélité. Un instant fort, fugitif, à suivre…
L’écriture est rapide, les séquences brèves, les phrases courtes, pleines de sens. On court, on court sur les lignes qui nous frappent, impatients de la suite.
Et voilà le Pituicyte qui communique et qui appelle. Sonja répond, se prépare, pense terriblement à Laurent, à son chien Max.
Elle quitte son labo et plonge dans sa boite d’observation à la rencontre du Pituicyte. Elle a des sensations, exprimes des vœux : ne plus tuer d’animaux, être meilleur dans un monde parsemé d’étoiles d’amour.
Laurent la recherche, il éprouve pour elle la même attirance.
Carole, la compagne de Laurent apparaît. Il rompt avec elle une liaison vide d’amour. Il est libéré !
Puis très vite se succèdent des évènements et des histoires greffées les unes aux autres ; comme l’origine de la naissance de Sonja, les cahiers de Ricardo ou encore son étreinte avec Laurent : "unis dans un seuls être, ils dansent dans l’excitation la plus intime". Aimer jusqu’à "sentir l’être sacré frémir dans l’être cher" (Victor Hugo).
Ce roman scientifique est un hymne à l’espoir, à la joie, où chacun pourrait sentir son devenir et l’accomplir sans contraintes : violences, guerres, assassinats d’enfants innocents, cris de désespoir…
Un appel à prier l’Eternel, Seigneur et Créateur. "Dieu est en chacun de nous, car il est avant tout en chacune de nos cellules."
Au-delà des considérations et des pensées humanistes et philosophiques, IL FAUT LIRE ET VIVRE sûrement le Pituicyte pour rêver, percevoir et aimer tout ce qui nous entoure, en découvrant une remarquable observation scientifique d’anticipation.
Cela fait chaud au cœur de nager dans l’eau pure de la création en pleurant des larmes de joie à la découverte de l’ESSENCE de la vie.
"Une symphonie sensationnelle" »
Georges-Didier Maman
« Ceci est agréable : le livre n'est pas épais. Il n'y a pas besoin d'un livre de Joël Dicker de 477 pages pour raconter un roman passionnant, le "Pituicyte" contient en effet aussi une histoire d'amour et de jalousie, de suspense et presque un crime, de la magie, de la génétique et la question éternelle : d'où venons-nous? Et une historienne comme moi trouve l'explication pour "Le Pituicyte" dans un petit glossaire dans la deuxième partie du livre (p.197). Dans ce cadre scientifique - l'histoire du roman se joue autour d'un laboratoire - j'ai moi-même surtout apprécié cette idée prononcée, mais aussi représentée avec le jeune Tom et avec le personnage principal de Sonja : il faut réaliser nos rêves! » Georgette Streiter, historienne.
« Nous vivons dans un monde où la science (pour parler comme Erwin Chargaff), avec sa machinisation de pacotille, nous empêche d’accueillir l’imprévu et la beauté du vivant. Nous sommes ainsi conduits à une brutalité de boucher envers des choses qui exigeraient de la douceur. C’est déprimant. Pour sortir de cette brutalité et de cette déprime, pas de meilleur chemin que celui indiqué par Lia Rosso dans son livre Le Pituicyte. » Jan Marejko, écrivain et philosophe.
« Il me semble remarquable qu’une œuvre de fiction puisse résonner auprès de lecteurs aussi divers qu’artistes, philosophes et scientifiques. En ce sens, le « roman scientifique » qu’est le Pituicyte réussit en filigrane une œuvre de réconciliation entre le monde intangible de la poésie et celui, intrinsèquement concret et rigoureux, des sciences dites dures. Tout scientifique amoureux de sa matière en connaît intimement les richesses, les subtilités, ainsi que cet art sibyllin de ne s’être jamais entièrement dévoilée. Quel dommage et quelle erreur ce seraient de ne voir en la science qu’un compendium de terminologies sans âme ! Attention, il n’est pas question ici d’utiliser la science pour soi-disant étayer des croyances ésotériques, mais bien de rendre grâce à sa beauté naturelle, dans son infinie complexité.
Plus largement, le Pituicyte est une ode à la vie, cherchant à nous rappeler à chaque page notre devoir de la vivre avec amour. Car, au fond, seul l’amour importe réellement. Dans son fond comme dans sa forme, ce livre est un chant de paix. Finalement, si je ne devais formuler qu’un seul commentaire à son sujet, je dirais que c’est un livre dont la lecture fait du bien. Dans un monde trop chaotique, trop bruyant, trop rapide, trop vérolé par l’argent, merci, Lia, pour ce précieux cadeau.» Jill Guyonnet, PhD, physicienne.
Découvrez le billet de Daniel Fattore à propos du « Pituicyte »
http://fattorius.over-blog.com/2016/02/lia-rosso-au-coeur-des-cellules-et-de-l-ethique.html
http://fattorius.over-blog.com/2016/02/lia-rosso-au-coeur-des-cellules-et-de-l-ethique.html
« J'ai adoré, absolument magnifique et superbement raconté. Profondément touchant, un livre qui parle en même temps à la tête, au cœur et à l'âme.
Merci beaucoup! » Therese Morand.
Merci beaucoup! » Therese Morand.
« Merveilleux! Ce roman est une alliance sublime entre la science et l'imaginaire. Une intrigue fascinante vous plonge à l'intérieur du cerveau : cette fabuleuse architecture vivante, vibrante et communicante. Grâce à ce roman scientifique, j’ai découvert un univers qui nous compose : "une symphonie sensationnelle…"
L'amour y est infiniment grand. Il éclaire, par sa force lumineuse, l'observation pure des phénomènes de la vie. Par pure, j’entends sans pensées parasites qui s’accrochent à notre crispation identitaire. Malheureusement, la vision pure et pénétrante est souvent contaminée par l’orgueil qui nous agite, l’inquiétude qui nous trouble, la peur d’aller au-delà du connu. "...L'inexploré devient accessible et les limites du connu se dissipent. Alors l'homme communique avec la vie, son cœur vibre de joie et son esprit peut enfin grandir, libre." Quelle aventure passionnante !
Le Pituicyte distille en nous des perles de poésie, des molécules d'amour, des protéines de sagesse. Ce roman nous hisse vers les sommets de la science et ouvre un nouvel horizon pour notre conscience. Un chemin s'offre alors à chaque homme, à chaque femme en quête de sens pour sa vie.
"Alors l'humanité prendra soin de chaque relation qu'elle entretient avec les autres formes de vie. Et elle grandira dans l'harmonie avec la nature qui la compose et qui l'entoure. "
Ainsi, l'amour pourrait être une forme d’énergie subtile, une force aimante multidimensionnelle, multidirectionnelle. L’amour ouvrirait des passerelles dans l'espace, et peut être même dans le temps. On ne sait jamais…
Quoi qu’il en soit, Le Pituicyte déclenche en nous une soif d'en découvrir d’avantage:
"Essaye de réfléchir autrement. Va plus loin que tes connaissances intellectuelles. N'aie pas peur de découvrir d'autres vérités. Au fond de ton être, tu sais que chacune de tes cellules a conscience de vivre, et que chacune possède son propre savoir-faire et son langage."
Ce qui est génial c'est que Le Pituicyte se prolonge par le web dans des «Suppléments scientifiques ». Magnifique! » Alain Forma, poète et libre penseur.
L'amour y est infiniment grand. Il éclaire, par sa force lumineuse, l'observation pure des phénomènes de la vie. Par pure, j’entends sans pensées parasites qui s’accrochent à notre crispation identitaire. Malheureusement, la vision pure et pénétrante est souvent contaminée par l’orgueil qui nous agite, l’inquiétude qui nous trouble, la peur d’aller au-delà du connu. "...L'inexploré devient accessible et les limites du connu se dissipent. Alors l'homme communique avec la vie, son cœur vibre de joie et son esprit peut enfin grandir, libre." Quelle aventure passionnante !
Le Pituicyte distille en nous des perles de poésie, des molécules d'amour, des protéines de sagesse. Ce roman nous hisse vers les sommets de la science et ouvre un nouvel horizon pour notre conscience. Un chemin s'offre alors à chaque homme, à chaque femme en quête de sens pour sa vie.
"Alors l'humanité prendra soin de chaque relation qu'elle entretient avec les autres formes de vie. Et elle grandira dans l'harmonie avec la nature qui la compose et qui l'entoure. "
Ainsi, l'amour pourrait être une forme d’énergie subtile, une force aimante multidimensionnelle, multidirectionnelle. L’amour ouvrirait des passerelles dans l'espace, et peut être même dans le temps. On ne sait jamais…
Quoi qu’il en soit, Le Pituicyte déclenche en nous une soif d'en découvrir d’avantage:
"Essaye de réfléchir autrement. Va plus loin que tes connaissances intellectuelles. N'aie pas peur de découvrir d'autres vérités. Au fond de ton être, tu sais que chacune de tes cellules a conscience de vivre, et que chacune possède son propre savoir-faire et son langage."
Ce qui est génial c'est que Le Pituicyte se prolonge par le web dans des «Suppléments scientifiques ». Magnifique! » Alain Forma, poète et libre penseur.
« Bravo pour votre livre "Le Pituicyte". Magnifique! Je l'ai lu (avalé...) en deux soirées. J'en ai pleuré...eh, oui... et les larmes ont coulé... Je suis en période de transition et de vous avoir rencontré n'est certainement pas le fruit du hasard... ce livre, il me le fallait, avec tous les messages qu'il contient! Aussi, avec mes études que je suis actuellement en anatomie et nutrition, je peux vous dire que j'ai baigné dans le cytoplasme avec les cellules... Beaucoup de choses qui sont déjà en ma connaissance, mais, le stress quotidien nous fait nous éloigner de notre chemin de Vie et nous ne sommes juste plus alignés à un moment donné. Votre livre m'a aidé à confirmer le sens de ma Vie! C'est juste magique, je ressentais à nouveau des flux vibratoires... ressenti que j'avais perdu ces dernières années! Du fond du cœur, un grand MERCI pour ce que vous apportez aux lecteurs. Au plaisir de vous revoir. Avec mes meilleurs messages. » Patricia Bariatti.
« Quand j'ai trouvé le livre de Lia Rosso, je suis - comme on dit au Québec - "tombé en amour !" Il est génial ! C'est le mot qui m'est venu à l'esprit. Un roman scientifique ? Il fallait oser. Mais rien de commun avec les premiers romans scientifiques connus, tels ceux de Wells ou du merveilleux Jules Vernes qui a enchanté mon enfance. Lia Rosso a écrit une ode à la vie, à partir de son travail de scientifique. Je ne progressais pas vite dans ma lecture car chaque page me faisait rêver. Ou, comme je le dis volontiers, faisait résonner mes bibliothèques, ces montagnes de savoirs et de souvenirs dont tous nous disposons mais que peu d'événements ou de personnes savent activer. L'auteure réalise, dans le début de l'ouvrage, rien de moins qu'une nouvelle traversée du miroir à la Lewis Caroll. Dans ce monde actuel de fous, de violence masculine permanente, quelle clarté, quelle source et quel réconfort de la lire. Elle possède à un haut degré la connaissance des fluides, elle sait nous parler du rapport des larmes et de la mer. Cette identité est toute ma vie. Je crois qu'en la lisant on passe de merveille en formule."Au cœur d'une centrale énergétique cellulaire Sonja découvre le parfum de l'énergie, sa force, sa lumière."Le parfum de l'énergie ? Einstein n'est pas allé si loin. Cette énergie peut se coder en E = Ac2, ou elle serait l'Amour par le carré de la compassion ! Car Lia Rosso est immensément compassionnelle. Il y a dans son roman l'histoire d'un couple qui se construit de manière non chaotique, ce qui est bien rare chez les humains, et il y a encore une grande clef qui me fait vibrer : l'amour immense qu'elle porte aux animaux dont elle sait le langage. Une merveille d'intelligence, de féminité et de clarté. On a besoin de pareils livres. En fin de l'ouvrage on peut découvrir le glossaire des termes de biologie cellulaire dont elle use dans son récit. » Jacques Guyonnet, musicien, auteur et éditeur.
« C’est une histoire d’amour, amour de la vie et de l’infini petit, qui m’a fait voyager au sein d’une cellule, à la rencontre des pituicytes. Mais rien n’est simple, car cet amour profond sera confronté aussi bien à la noirceur humaine, à son histoire dramatique, qu’à la lumière qui rend possible toute harmonie. Je ne pourrais m’empêcher de rêver du courage de ces petits pituicytes. » Catherine Aebischer, peintre.
« Roman fantastique et pourtant terriblement réel. On y retrouve plusieurs formes d’amour qui se mélangent entre elles, mais qui sont l’expression d’un seul amour, l’amour pour la vie qui se résume dans plusieurs messages essentiels : la vie est communication, l’amour est communication, la vie ne peut pas exister s’il n’y a pas du partage.
Tout comme les cellules de notre corps qui communiquent avec nous, nous communiquons avec le monde dans sa totalité. Chacun de nous porte en soi l’infiniment petit et l’infiniment grand. Ces deux infinis se conjuguent dans l’attraction réciproque et le partage : ce n’est pas seulement l’amour comme nous avons l’habitude de le concevoir (même si ce sentiment est aussi présent dans le roman), mais un amour encore plus grand, l’amour pour la perpétuation de la vie, l’amour qui nous pousse à communiquer avec l’autre, car peu importe de savoir qui il est ou ce qu’il est, il est, de toute façon, en nous et avec nous.
C’est un beau roman, léger, parfois surréel, et pourtant terriblement vrai et réel. » Mario Rosso, écrivain.
« On peut comparer le roman au voyage de la vie. Le livre est riche de nouvelles idées, c’est un océan de créativité et d’étonnement exprimés avec grâce. Le lire c’est un beau cadeau à la vie. On reste dans l’amour. » Maria Grazia Pettini, retraitée.
« Roman fantastique et pourtant terriblement réel. On y retrouve plusieurs formes d’amour qui se mélangent entre elles, mais qui sont l’expression d’un seul amour, l’amour pour la vie qui se résume dans plusieurs messages essentiels : la vie est communication, l’amour est communication, la vie ne peut pas exister s’il n’y a pas du partage.
Tout comme les cellules de notre corps qui communiquent avec nous, nous communiquons avec le monde dans sa totalité. Chacun de nous porte en soi l’infiniment petit et l’infiniment grand. Ces deux infinis se conjuguent dans l’attraction réciproque et le partage : ce n’est pas seulement l’amour comme nous avons l’habitude de le concevoir (même si ce sentiment est aussi présent dans le roman), mais un amour encore plus grand, l’amour pour la perpétuation de la vie, l’amour qui nous pousse à communiquer avec l’autre, car peu importe de savoir qui il est ou ce qu’il est, il est, de toute façon, en nous et avec nous.
C’est un beau roman, léger, parfois surréel, et pourtant terriblement vrai et réel. » Mario Rosso, écrivain.
« On peut comparer le roman au voyage de la vie. Le livre est riche de nouvelles idées, c’est un océan de créativité et d’étonnement exprimés avec grâce. Le lire c’est un beau cadeau à la vie. On reste dans l’amour. » Maria Grazia Pettini, retraitée.
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