ADN. Cette abréviation signifie acide désoxyribonucléique. L’ADN est le support du matériel génétique. Il contient les informations pour la fabrication des protéines que nos cellules utilisent afin d’accomplir leurs tâches quotidiennes. L’ADN est contenu dans le noyau (ADN nucléaire) et dans les mitochondries (ADN mitochondrial), les centrales énergétiques de nos cellules.
L’ADN de nos cellules est constitué par deux brins antiparallèles, dont l’un est la copie inversée de l’autre. On dit aussi que les deux brins sont des miroirs l’un de l’autre. Les deux brins sont enroulés l’un autour de l’autre et forment une double hélice. Chaque brin d’ADN est constitué de quatre nucléotides, dont le nom en abrégé est : ATP, GTP, CTP, TTP. Le plus souvent on abrège encore cette écriture et on écrit juste A, G, C, T. Ces quatre nucléotides sont "lus" par les protéines nucléaires trois par trois. On parle de codon, car l’interprétation connue du langage génétique se fait trois nucléotides à la fois.
L'ADN est enroulé sur lui même avec l'aide de protéines spécifiques, les histones, et il forme les chromosomes.
La longueur de l'ADN est extraordinaire. Très fortement compacté et enroulé, l’ADN contenu dans chacune de nos cellules mesure environ deux mètres de long. On estime que la partie de l’ADN qui contient les gènes (c’est-à-dire les parties de l’ADN qui contiennent les informations pour la synthèse des protéines ou d'ARN régulateurs) représente seulement 2 % de l’ADN. 98 % de l’ADN a donc encore bien des secrets à dévoiler. Ces parties sont copiées en ARN messager dans un processus appelé transcription. Les ARN messager sortent du noyau et sont transportés dans le
cytoplasme où ils sont traduits en protéines.
Toutes les cellules d’un même organisme possèdent pratiquement le même ADN, car elles dérivent toutes d’une seule cellule, l’ovule fécondé. Ce qui rend les cellules si différentes les unes des autres, c’est leur capacité à utiliser certaines parties de l’ADN plutôt que d’autres. On sait que chaque type de cellules exprime seulement une partie des gènes totaux, car elles ont besoin des protéines spécifiques à leurs fonctions.
L’ADN de nos cellules est constitué par deux brins antiparallèles, dont l’un est la copie inversée de l’autre. On dit aussi que les deux brins sont des miroirs l’un de l’autre. Les deux brins sont enroulés l’un autour de l’autre et forment une double hélice. Chaque brin d’ADN est constitué de quatre nucléotides, dont le nom en abrégé est : ATP, GTP, CTP, TTP. Le plus souvent on abrège encore cette écriture et on écrit juste A, G, C, T. Ces quatre nucléotides sont "lus" par les protéines nucléaires trois par trois. On parle de codon, car l’interprétation connue du langage génétique se fait trois nucléotides à la fois.
L'ADN est enroulé sur lui même avec l'aide de protéines spécifiques, les histones, et il forme les chromosomes.
La longueur de l'ADN est extraordinaire. Très fortement compacté et enroulé, l’ADN contenu dans chacune de nos cellules mesure environ deux mètres de long. On estime que la partie de l’ADN qui contient les gènes (c’est-à-dire les parties de l’ADN qui contiennent les informations pour la synthèse des protéines ou d'ARN régulateurs) représente seulement 2 % de l’ADN. 98 % de l’ADN a donc encore bien des secrets à dévoiler. Ces parties sont copiées en ARN messager dans un processus appelé transcription. Les ARN messager sortent du noyau et sont transportés dans le
cytoplasme où ils sont traduits en protéines.
Toutes les cellules d’un même organisme possèdent pratiquement le même ADN, car elles dérivent toutes d’une seule cellule, l’ovule fécondé. Ce qui rend les cellules si différentes les unes des autres, c’est leur capacité à utiliser certaines parties de l’ADN plutôt que d’autres. On sait que chaque type de cellules exprime seulement une partie des gènes totaux, car elles ont besoin des protéines spécifiques à leurs fonctions.